تتصفح: Guerroua Kamal

Il est en partie question dans cette chronique de revenir sur ce qui a chargé l’actualité de ces dernières semaines : le limogeage du patron de…

«L’Algérie est généreuse, mais ses enfants sont ingrats» (Anonyme) Contrairement à bien d’autres que j’avais  auparavant écrites dans diverses circonstances, où je me suis étalé sur…

En défendant la Syrie, Poutine semble défendre son territoire, voire l’unique espace vital qui lui reste encore au Moyen-Orient. En quelque sorte, il tend à maintenir…

«Je préfère ne pas rire, ne pas pleurer, comprendre…» (Spinoza, 1632-1677) Comme par un effet de perpétuel ricochet, ce thème-parasite de l’exil s’engouffre dans les interstices…

Ce jour-là, quand ils ont emprunté le chemin de la fuite il s’était blotti, comme un oiseau, dans les bras de sa mère Les couleurs du…

Que c’est long notre drame! Mais que c’est long! Trop long le feuilleton de cette crise algérienne. Un tunnel sans fin. Disons-le une fois pour toutes…

Les droits de l’homme, la légalité internationale, le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes dites-vous! Que des mots creux dont on n’a aucune peine à imaginer…

اندثرت ابتسامة الزهرة وبقيت أطلالها وصمةَ عارٍ أبديةٍ على الجبين. لم تُشفق بتاتًا على يتيمِ قلبِها فوخزته إبرة الخيبة، ثم رجمته بحجرة الصمت ورمت بآماله تحت…

Je tiens d’abord à informer mes lecteurs qu’avant la rédaction de cette petite chronique, j’ai trop hésité entre deux concepts à la polysémie convergente : malaise…

اغتصبني الألم، قالت لي تلك الورقة البيضاء التي فارقت ريشتي خِلسةً أن السواد مارِقٌ. فراشة الربيع مات قلبها فجأةً وهي تحلّق بجناحيها كالطير الحزين في الأفق…

Ce n’est pas une chronique-pamphlet mais tout bonnement un constat parmi d’autres sur les maux endémiques qui rongent notre société : l’assistanat et l’indifférence.En tout cas,…

وشحتني الليالي أرقًا فاحتسيت وجهك شرابًا يا بائعة اللوز. إنكِ، ألا تدرين بعد، كالطيف الجميل الذي يسلب العقول بصيرتها. إنكِ ملاكٌ عطوفٌ لا يعي في ذاته…

J’aimerais bien de prime abord rebondir en ce papier sur le concept du stéréotype dont j’avais déjà parlé dans l’une de mes précédentes chroniques. Mais pourquoi…