Empêtrés dans une économie en faillite, avec d’incalculables déficits budgétaires, sociaux, politiques… la « classe » politique française s’épuise à détourner l’attention pour enclore les libertés avant que le peuple ne comprenne dans quels réels problèmes ses gouvernants l’ont piégé.
Les musulmans, les immigrés, les étrangers, les islamistes… sont un prétexte commode pour distraire le bon peuple de France. Le « terrorisme » sert à couvrir de plus sombres desseins dont les Français forment le véritable objet.
Il en de même du révisionnisme historique concernant la décolonisation, avec des discours enflammées sur la « guerre d’Algérie », pour espérer relancer des débats clos depuis près de 60 ans, qui est un autre attrape-nigauds destinés à égarer les Français (et aussi quelques imbéciles chez nous qui se croient concernés par une affaire purement franco-française).
La « souveraineté », le « complotisme », les « valeurs de la République », la « laïcité »… sont des os à ronger jetés à des foules désemparées, menacées par d’incessantes catastrophes, destinés à animer un théâtre d’ombres, via des médias « totalitaires » (verrouillés car dominant un espace public monocolore qu’aucune pensée critique ne trouble) dans les mains de quelques milliardaires qui possèdent presque tous les titres et règnent sur tous les plateaux de TV et de radios.
Le « terrorisme » relève de la pensée magique.
Un opérateur décisif, un levier majeur, dans un processus argumentatif quasi-« infalsifiable », irrécusable qui ne donne prise à aucune démonstration imaginable, avec des égalités, des implications et des transitivités que Pavlov aurait pu ranger dans sa galerie réflexive où viendraient se servir tous les amateurs d’éthologie, d’animaux de cirques, de montreurs de monstres.
De temps à autre, un fou, un hystérique, un illuminé, un criminel, un Afghan par-ci, un Tchétchène par-là pour apporter la « preuve » nécessaire d’un « ennemi mortel » invisible et pour permettre d’ajouter une loi, un décret de plus à un garrot qui étrangle les libertés et consolide les « forces de l’ordre ».
Face au « désordre terroriste », la démocratie se résume à sa défense, à ses drones, ses gens d’armes, aux parades soldatesques et ses chefs de guerre.
La protection du peuple passe alors par sa domesticité.
C’est à cela que sert le « terrorisme ».
Circulez, il n’y a rien à voir.
Lisez donc les documents joints pour en être édifiés.
Joyeux Noël.
Djeha, V. 25 décembre 2020.
Un commentaire
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