Le fléau de la corruption qui fait tant de mal aux Algériens
Idéalistes héritiers d’une très grande révolution
Aux idéaux intacts, ne cesse pas d’inquiéter.
En suivant « l’affaire » troublante, depuis l’avènement
De « l’indépendance confisquée », j’avais une fois relevé
Dans un livre des mots sensés, l’esquisse d’une solution
D’un « illustre » personnage, qui aurait pu présider
Aux destinées du pays
Et comme ça détourne encore de l’argent
Et que les mots dans les journaux tournent en rond
Sans laisser entrevoir d’issues à l’horizon
Il me plaît de rappeler les paroles d’un « élu »
A l’époque face aux mêmes détournements :
Les hommes-vautours tous pareils
Détestent s’exprimer à la lumière du soleil
Et leurs pesants silences ignorent
Jusqu’à nos existences
C’est lorsqu’ils se déchirent
pour les gros magots
Que vers l’Europe ils acheminement
Qu’ils rendent compte de leurs méfaits
A se dénoncer cachés sans vergogne
Ne faut il point disait « l’éclairé »
D’avoir la décence
D’investir au pays l’argent détourné
Nous en faire profiter, construire le pays.
Amokrane Nourdine
25 mai 2013