Le rejet du cinquième mandat s’est substitué dans le jargon politique de l’algérien à toutes autres formes de contestation populaire. Au point d’avoir l’impression que c’est Bouteflika le problème alors que c’est faux. Force est de constater que la constitution n’a jamais été respectée quand il s’agit de trouver un moyen légal pour permettre à ses prédécesseurs de briguer autant de mandats qu’ils le veulent. Autant dire que la question aurait du se poser, pour le principe, de ce qu’on appelle communément «l’indépendance ». Donc, il ne saurait être honnêtement question d’exception imputable à l’ère du Tlemcenien, quoi que ce qu’on…