Plus que jamais, les attaques contre le saint Coran semblent prendre des proportions alarmantes. Dérision, critiques infondées, pressions sur les autorités saoudiennes en vue de stopper l’impression du Coran, tentatives de falsification consistant à supprimer des mots, des versets voire des chapitres entiers, tentatives d’imitation, toutes ces pratiques sont devenues courantes et notoires. Cependant, les tentatives d’imiter le Coran demeurent très certainement vaines. Le Coran n’est pas l’œuvre d’un humain et il contient des données dont bon nombre échappe à l’intelligence humaine. Il enseigne la vérité et la Science. Tout ce qui a trait aux mystères de l’Univers, à la création et aux créatures s’y trouve exposé de manière éminemment magistrale et avec une impressionnante exactitude. Les découvertes scientifiques n’ont de cesse de confirmer ce que le Coran a prédit et annoncé, ce qui a permis aux nombreux savants de différentes confessions d’affirmer que le Coran n’est pas seulement un miracle mais plutôt une source de miracles qui se renouvellent continuellement jusqu’à la fin du monde. Les travaux des savants tels les astronautes, les océanographes, les géographes, les historiens, les archéologues, les physiciens, les météorologues, les chirurgiens, les embryologistes, les astrophysiciens ne font que confirmer les énoncés du Coran. C’est pour cela que les humains sont incapables de l’imiter, nous verrons en détail pourquoi.

Face à l’éloquence du Coran, ses adversaires n’avaient pour réponse que d’accuser le Prophète Mohammed de sorcier, d’imposteur, de poète, de devin alors qu’il ne savait ni lire ni écrire et il n’avait aucune expérience de la poésie ni de la prose ni encore moins de l’art oratoire. Il se borna à transmettre le message qui lui fut révélé sans y changer un iota. Par ailleurs, de nombreux versets n’ont pu trouver leur explication qu’à la lumière des événements et des découvertes scientifiques. Dieu demanda aux idolâtres de la Mecque de produire une parole pareille, eux qui excellaient dans l’art de la rhétorique et de la poésie.

Incapables de relever le défi, ils finissent par reconnaître la puissance du verbe coranique en exprimant néanmoins le regret que ce Coran n’eût pas été révélé à un haut personnage de l’une des deux cités. En d’autres termes, pourquoi Dieu avait-il choisi Mohammed et non Al-Walid Ibn Al-Mughira de la Mecque ou ‘Urwa ibn Mas’oud de Taïf, auxquels ils faisaient allusion. En tout état de cause, le défi coranique demeure jusqu’à nos jours, il est absolument faux de prétendre le contraire.

Les pseudos sourates publiées au forum du site bibleoucoran ne méritent même pas le qualificatif de contrefaçon, et si l’on peut parler de contrefaçon, on dirait une piètre et ridicule contrefaçon visant désespérément à déformer et corrompre la Parole divine. Dieu a lancé un défi aux humains d’apporter une œuvre pareille au Coran ou a défaut quelque chose de semblable ! La question qui se pose est la suivante : Est-ce avec une aussi minable parodie caractérisée par le sarcasme et l’indécence, que les auteurs puissent relever le défi ?

Bien que les imitateurs utilisent le style, la terminologie et la structure du Coran, ils s’avèrent manifestement incapable, pour ne s’en tenir qu’à la forme, d’imiter la beauté, la décence et la précision du discours coranique.

En principe les faussaires et les contrefacteurs, même s’ils volent les conceptions et les plans, doivent avoir leurs propres moyens de reproduction littéraire ou artistique, en l’occurrence la méthode, le vocabulaire, le style, etc. Ce n’est pas avec les matériaux du Coran que l’on doit relever le défi du Coran ; Ce serait trop facile ; il suffit de prendre un passage ou un chapitre du Coran, en changer quelques mots ou quelques versets et dire voilà : j’ai écrit quelque chose comme le Coran. Ainsi par exemple, on peut lire dans le chapitre (contrefait) de la crucifixion :

« ô ceux de nos serviteurs qui se sont égarés, le vrai Furqan vous est certes venu, vous exposant beaucoup de ce que vous ignoriez de l’évangile vrai et de ce que vous cachiez.

« Une lampe éclairante pour sortir les gens des ténèbres à la lumière, ne dites pas : ‘’Il ne nous est venu ni annonciateur ni avertisseur’’. Voilà, certes, que vous est venu un annonciateur et un avertisseur, mais vous niez ».

Ces deux versets sont un plagiat pur et simple des versets 15 et 19 de la Sourate n° 5 ‘’Al-Maïda ou le plateau servi’’

On a juste remplacé les expressions ‘’ô Gens du livre’’ par ‘’ô ceux de nos serviteurs qui se sont égarés’’ et ‘’ Notre messager’’ par ‘’le vrai Furqan’’

Quoi qu’il en soit, on peut affirmer avec certitude qu’il est impossible de produire une œuvre pareille au Coran et ce, pour les raisons suivantes :

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