L’annonce faite de la candidature du malade-handicapé, par son premier ministre est une grave insulte au peuple. Tout le monde sait, que l’handicapé est pris en otage et séquestré dans une résidence de la mafia sous haute surveillance. IL conviendrait maintenant au peuple de se mobiliser pour exiger la libération du séquestré prisonnier et d’exiger qu’il soit examiné par une commission médicale indépendante du pouvoir pour constater son état général de santé, ses mouvements physique, et le fonctionnement de son cerveau et de sa conscience mentale et éventuellement de l’interroger s’il est l’auteur de cette décision portant cette candidature supposée dictée par le clan de la mafia ; et que la commission statue sur les degrés de ses incapacités avérées et de s’assurer qu’il n’est pas victime d’une séquestration, ni d’un traitement spécial avec administration d’une drogue puissante pour le priver de dialoguer en toute liberté pour pouvoir se libérer de cette mafia qui le tient comme prisonnier.
Cette comédie a été en partie facilitée par le laxisme d’une opposition paralysée, incapable de mobiliser l’opinion, complaisante et qui n’a pas été à la hauteur de la lutte exigée pour libérer le pays de ce joug cruel et criminel. A présent l’opinion doit exprimer sa colère et doit exiger la libération immédiate du prisonnier séquestré et d’exiger la mise en application de l’article 88 de la constitution.
La bataille ne fait que commencer et tout le peuple doit exprimer son refus et dénoncer le pouvoir de la mafia. IL est certains, que Bouteflika, n’est pas l’auteur de cette décision, il n’a pas été consulté, c’est son frère Said avec son complice le général Gaid. IL faut savoir seulement qui commande en ce moment l’armée pour mesurer la gravité de cette menace d’une fitna fabriquée et provoquée par ceux qui veulent se maintenir au pouvoir par tous les moyens, y compris par la terreur et la violence. Cette fitna devient en ce moment un processus inévitable. IL ne faudrait pas aller plus loin pour identifier les coupables, c’est Gaid et Said. Le reste ce sont que des lèches-bottes domestiqués et manipulés comme les traites qui n’ont ni honneur ni dignité. Les candidats déclarés doivent utiliser tous les instruments, tout l’arsenal juridique pour faire annuler cette candidature contre nature et d’exiger que l’handicapé soit examiné par une commission médicale indépendante et il appartiendrait à tous les candidats de déposer plainte contre les coupables de cette séquestration d’un président prisonnier. C’est une insulte impardonnable, inexcusable et intolérable, c’est de faire de nous des lâches et des valets de pervers criminels.
Les Algériens peuvent constater, par eux-mêmes, ce malheur indescriptible qui nous frappe et qui fait de nous un peuple incapable de se libérer d’un pouvoir composé de fous et de malades ; c’est à croire, que nous ne sommes pas les dignes héritiers de nos glorieux chouhadas.
jilani Karidi
22 février 2014
PS : On vient d’apprendre, que les opposants Ukrainiens viennent d’obliger le président à fuir la capitale et que les résistants ce sont emparés de tous les édifices publics et le Parlement vient de proclamer la destitution du président ? C’est une victoire éclatante de tous les combattants qui n’acceptent plus les régimes totalitaires dictatoriaux. Les Algériens préfèrent-ils la corruption à la dignité et à la liberté ?
6 commentaires
RE: La candidature de la honte
Copie-collée de mon commentaire sur El Watan ce matin, et qui va dans le même sens que la réaction du frère Si Kadiri…
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A.Dehbi le 22.02.14 | 23h00
http://www.elwatan.com/actualite/seisme-de-4-1-a-l-est-d-alger-22-02-2014-246756_109.php?tit=M%C3%AAme+la+Terre+s%27indigne+!&txt=&okcharte=on
Même la Terre s’indigne !
Même la Terre vient de marquer son indignation contre cette candidature qui sent la provocation et le souffre! Tu devrais trembler, petit Saïd, pour toi et pour ton clan de malheur. C’est la goutte d’eau qui va vous noyer et vous emporter tous In Chaâ’ALLAH, ton clan de voleurs aussi bien que le clan des généraux putschistes et criminels de guerre !
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Hoggar
Pour supporter le sort de l’Algérie, il faut la détester ; pour y réussir socialement, il faut faire preuve de cruauté envers elle. Curieuse destinée que celle d’un pays qui comble ceux qui le haïssent et qui broie tous ceux qui l’aiment, obligés de le fuir pour survivre. Notre humiliation et le mépris affiché à notre égard ont atteint le summum avec la reconduction d’un vieillard mort-vivant, un des fossoyeurs de l’Algérie, à la tête du pays. Si, un demi-siècle après l’« indépendance », les criminels qui nous gouvernent peuvent poursuivre leur œuvre destructrice, c’est que nous continuons de les considérer comme doués de raison. C’est même là le nœud gordien de la question : on ne peut combattre un adversaire en continuant à se méprendre sur sa nature. Notre destin tient à la bonne volonté que nous prêtons à un pouvoir qui n’a eu de cesse de nous anéantir. Qu’ont-ils à perdre, ces criminels sans foi ni loi ? Tout ; car au fil du temps se sont accumulées une quantité considérable de crimes qui les voue à la déchéance. Entre les ors des palais et les geôles du TPI, il n’y a pour eux aucune alternative. La dictature, brutale, absolue, sans répit, est l’unique moyen d’échapper à l’épuration. Espérer une transition douce procède de ce fait du mirage, et ceux qui attendent l’avènement d’une démocratie par le fait d’une mutation spontanée sont des sots. L’« indépendance » de 1962, qui relevait déjà de l’inconcevable, aboutissement de quelque 20 ans de militantisme et 8 années de guerre abominable, était de loin plus facile à obtenir que la chute du régime actuel. Il n’a été possible d’engager le combat contre le nazisme qu’à partir du moment où des hommes (Churchil, secondé par Roosevelt et suivi par de Gaulle) ont pris la décision de renoncer à dialoguer avec lui. Nous sommes loin de cette prise de conscience de l’« élite » intellectuelle et de la pseudo classe politique algérienne complices et définitivement discréditées. Les Algériens laisseront-ils faire ? Ils n’ont que des ennemis, partout. Pourtant, faute d’avoir consenti les sacrifices lorsque cela était facile, ils devront bien se résoudre à ferrailler aujourd’hui quand cela relève presque de l’impossible…
RE: La candidature de la honte
Cet après-midi, un ami – qui a toujours été bien informé – m’a confié que la pomme de discorde originelle entre le patron du DRS et le Chef de l’Etat, c’est la forte ambition que nourrit ce dernier pour son frère Saïd Bouteflika qu’il a cherché à caser comme « vice-président », et que devant le refus du général Mohamed Médiène alias Toufik, le président a montré son irritation et a refusé tout net, d’entendre parler du projet de création de la charge de vice-président dans la Constitution.
De mon point de vue, pareille dérive dynastique et monarchique, est en soi, symptomatique d’un trouble grave au niveau de la conscience morale et politique chez un homme que, ni la tragique leçon des Kadhafi ni le sort indigne des Moubarak n’ont découragé…
C’est ce qui explique sans doute cet acharnement du petit Saïd, de tenir la barre en lieu et place de son frère. Quitte à commettre des actes d’usurpation de fonction et de faux en écriture publique, en alourdissant davantage, son dossier pénal qui n’avait pas tant besoin de ça, quand on pense aux millions de dollars qu’il a détournés, avec la complaisance de son Chef d’Etat de frère et la complicité servile des membres influents de leur clan.
Et dire que ces gens-là et leurs affidés, comptent rempiler pour un autre tour de 5 années de pillage de l’Algérie, au mépris de leur rejet par l’écrasante majorité du peuple algérien.
Comment peut-on s’expliquer tant d’assurance et tant de mépris pour tout un peuple, sans se poser de graves interrogations, liées à la Souveraineté-même de notre pays ?
candidature frauduleuse et suspecte
Mardi 25 février 2014.
Les Algériens sont furieux. ! Est-il concevable qu’un président en exercice reçoive un premier ministre tunisien plus de deux heures, et que ce président n’accorde pas même cinq minutes au peuple. ! Est-il concevable qu’un président accorde plus d’importance et plus de considération à un représentant du Koweït et selon les faussaires-fraudeurs, l’audience avait durée plus d’une heure et rien pour le peuple. ? Que signifie ce traitement infligé au peuple par un président qui se présente comme un candidat par procuration et qui se cache au peuple. Les Algériens sont furieux, ils n’imaginent pas un président qui se cache, qui refuse de s’adresser au peuple et à ce stade les Algériens s’interrogent. ? De quoi a-t-il peur. ? Est-ce qu’il a peur que le peuple découvre qu’il ne peut plus articuler ses paroles, qu’il est incapable de parler comme un homme normal. ? Que craint-il alors du peuple. ? Bouteflika sait-il qu’il est candidat aux élections du 17 avril 2014. ? A-t-il officiellement autorisé son premier ministre de déclarer officiellement sa candidature. IL y a dans cette magouille, une œuvre malsaine, une manœuvre frauduleuse, que les Algériens refusent de cautionner. Si M. Bouteflika, se porte candidat, il doit se manifester en personne, en s’adressant directement au peuple, en lui disant toute la vérité sur cette candidature et de dire au peuple pourquoi, il renie ses déclarations de Sétif : ‘’ la validité de notre génération est révolue’’. ? IL doit expliquer les motifs de ce revirement qui ne fait que le discréditer et le désavouer ouvertement par toutes les couches des masses populaires. IL ne fait plus aucun doute, que Bouteflika n’est pas libre de ses mouvements et de ses actes et il n’y a qu’une façon de découvrir cette conjuration abjecte, une machination fomentée pour dominer le peuple par un clan qui utilise tous les moyens frauduleux pour se maintenir au pouvoir.. ? Pour démasquer cette horrible machination, le peuple par l’intermédiaire de ses représentants légitimes, doit faire appel ( urgent , le pays est en danger), à toutes les hautes personnalités du pays, notamment, M.M. Liamine Zeroual, Ait-Ahmed HOCINE, Salah Boubnider, Khatib hassen, Boualem Benhamoud, Rachid Benyellès, Ali Yahia Abdenour, Ali Benflis, Ahmed Benbitour, Mouloud Hamrouche,Mokkdad Sifi, Smail Hamdani, Belaid Abdesselam, Ahmed Ghozali, Redda Malek, Said Abbadou, Abdelkader Dehbi, Ahmed Taleb el Ibrahimi, Salah Goudjil, Abassi Madani, Ali Belhadj, Yacef Saadi,Abdallah Djaballah A. Mokri Abderrezak, Sofiane Djilali, Abderrahmane Belayat,Moussa Touati, Ali-fawzi Rebaine, Louiza Hanoun, Mourad Dhina, Zitout Mohamed Larbi, Saad Djebbar,Abdelkrim Abadda, Zohra Drif, Djemila Bouired, Anouar Abdelmalek, la liste sera complétée par d’anciens généraux à la retraite , de présidents de partis importants politiques, de professeurs spécialistes de médecine , de juristes constitutionalistes et de droit. Ce comité rencontrera le président Bouteflika, et au cours d’un long entretien, les membres décideraient de la suite à donner, pour informer le peuple sur les incapacités et sur toute cette comédie fomentée par les organisateurs de ce complot masqué par de faux et fallacieux alibis et prétextes imaginaires. Les membres de ce comité peuvent porter plainte contre le président du Conseil Constitutionnel, pour violation de la constitution et pour forfaiture constitutionnelle, et plainte contre les complices et manipulateurs de cette tragique candidature posée en catimini. Les membres ont le droit légitime de clarifier cette affaire de sa grave maladie et de mettre toute la lumière pour protéger notre pays contre une éventuelle fitna. Bouteflika, s’il a du respect pour son peuple, qu’il se manifeste à lui et qu’il s’adresse directement sans passer par ses minables et médiocres fraudeurs. Le peuple ne croit plus à cette comédie orchestrée par les deux comploteurs Gaid et son complice Said. Pour éviter au pays une fitna dangereuse, Bouteflika doit impérativement renoncer a cette candidature contre nature et d’évaluer les risques d’une situation explosive et inextricable. S’il respecte le peuple, il doit avoir le courage de renoncer, et il sortira par la grande porte la tête haute et le peuple lui sera reconnaissant. S’il persiste et refuse les conseils des sages, il doit s’attendre à une commission médicale qui se prononcera sur ces incapacités et sur les atteintes et violations de la constitution, et la commission médicale ne manquera pas de prononcer l’invalidation de sa candidature non conforme à la constitution et quelle honte pour un président qui se fait manipuler par de tierce-personnes indignes. A bon entendeur salut. Sidcheikh Ksel.
candidature de la honte !
Mercredi 26 février 2014.
Dans cette crise provoquée par les clans protagonistes, les algériens ne doivent pas tomber dans le piège pour s’éloigner du vrai problème qui se pose pour l’ensemble de la société civile menacée dans son existence. Tout le monde sait, qu’il existe une lutte acharnée entre les généraux putschistes criminels, Gaid et Toufik, ils sont tous les deux passibles devant la cour pénale internationale (CPI ) pour crimes contre l’humanité. Tout le monde sait, qu’il existe un clan au niveau de la présidence, dirigé par le sinistre Said, sa fortune personnelle s’élève à plusieurs milliards de dollars. Bouteflika, est marginalisé, écarté par son frère, le malade-handicapé, ignore tout ce qui se passe entre les clans et il n’a jamais autorisé aucun pour annoncer sa candidature, tout se fait en son nom. Les Algériens qui ne sont pas dupes, savent, que le clan des généraux se trouve plongé dans un profond gouffre de pétrin dont il ne sortira pas indemne, crimes, détournements des deniers publics, transferts de devises, pillage et gaspillage. De plus, les généraux sont les plus fortunés, ils possèdent des immeubles, des sociétés, des hôtels, des usines, et des comptes bancaires, à l’étranger, leurs biens sont recensés et inventoriés par les services spécialisés chargés dans la lutte du blanchiment de l’argent sale. Le clan Said, composé de tous les corrompus notoires, Sellal, Saidani, Ghoul,Lounès, Louh, Bellaiz, Ould Abbas, chakib khalil, impliqués dans des scandales de malversations et de corruptions, ils ont ruiné le trésor public et dilapidés les deniers publics au moyens d’opération illégales et illicites. Ce clan de Said, s’acharne et tente de faire croire par une propagande mensongère, que le 4èm mandat est pleinement justifié, mais en réalité, ils ont peur du changement et des poursuites judiciaires inévitables de la victoire d’un autre candidat du changement radical.
Ces clans, malgré le duel qu’ils se livrent entre eux, ils sont assez solidaire pour empêcher tout changement de régime et ils exercent de fortes pressions sur le président pris en otage, afin de se servir de lui comme couverture et comme pouvoir pour se maintenir par tous les moyens, y compris, la violence et une guerre civile ( fitna entre les algériens).Dans ce spectacle, les membres de la société civile observe un silence complice, ils se cachent comme le malade qui n’ose plus s’adresser au peuple et qui se fait dicter tout un programme qui l’engage au nom de la présidence. Ce simulacre est une supercherie scandaleuse indigne de tous les algériens qui par leur silence, facilitent l’instauration d’une dictature encore plus féroce que celle de Bouteflika. Le problème est dans sa nature est simple et limpide, il suffit, de porter plainte contre le président en exercice, pour violation de la constitution. Les avocats brillants algériens ne manquent, pour entamer cette procédure en vue d’obliger le président du conseil constitutionnel, à répondre, sur l’application de l’article 88 de la constitution en vigueur. C’est en fonction de cette saisine et de sa réponse, que tout le processus juridique se met en marche vers l’annulation da la candidature de la honte et la destitution du président pour violation de la constitution et pour entrave et déni de justice. ? Je partage l’avis de sidcheikh, sur l’appel aux hautes personnalités algériennes, elles ont parfaitement le droit de rencontrer le président en otage, et de constater son vrai état de santé. ? Est-il en mesure de mener une campagne, de pouvoir parler et marcher, est-il conscient pour avoir décidé de briguer un quatrième mandat et au profit de qui. ? Nous avons un candidat malade, nous avons une constitution, nous avons l’article 88 et les hauts responsables de la nation, ont le droit d’exiger la création d’une commission médicale pour se prononcer sur l’état du candidat. IL faut user de tous les moyens juridiques et politiques pour faire annuler cette candidature non conforme à la constitution et au droit légitime du pouvoir du peuple. Gloire à nos chouhas. Loutfi.
RE: La candidature de la honte
La mascarade à cause du silence du peuple se concrétise et ne cessent de prendre de l’ampleur. Deux candidats importants se sont retirés, M. Benbitour, et M Yala et demain, ce sera d’autres et le peuple persiste dans son silence injustifié. C’est à croire, qu’il n’existe que deux malades, Bouteflika d’une part, le peuple d’autre part. Sommes-nous assez lâches pour observer cette attitude passive et indigne. Ce n’est pas Bouteflika qui se présente, mais les membres de la mafia qui s’est accaparée du malade et le séquestre pour qu’il ne manifeste aucun cri, aucune protestation, il est comme Bourguiba qui faisait l’objet d’une séquestration de la part de sa nièce Saadia, et Bouteflika est victime de son frère Said. Algérien votre silence vous coutera très cher, c’est la consolidation d’une dictature féroce et cruelle, vous avez vu comment nos frères et nos sœurs ont été brutalisés les barbares étaient plus humains que la police algérienne. C’est honteux, pour le peuple algérien qui compte 40 millions, n’a pas un seul homme digne de remplacer cette momie frappé d’une paralysie et il ne peut plus parler, ni marcher, ni travailler, dans ces conditions, comment peut-on tolérer d’être gouverné par un handicapé sénile et malade mental. C’est absolument révoltant, nous vivons à l’heure d’internet, et au lieu de mobiliser le peuple algérien et d’exiger l’annulation de cette candidature de la honte, c’est l’indifférence abjecte, c’est triste, c’est frustrant, c’est déplorable, que l’argent volé au peuple peut aussi le détruire et le réduire à une vie humiliante. IL n’y a point de dignité avec cette mafia de malfaiteurs et de criminels. Narram-sin.