Se mettre d’accord et agir ensemble, est une démarche judicieuse qui fera aboutir à des résultats remarquables.

Ce ne sont pas les gros moyens financiers, que l’Etat vient de mettre à notre disposition, qui compromettent notre bon équilibre, mais le problème, c’est qu’il parait que l’on dépense sans compter. Nous devons faire attention, et savoir  comment utiliser et consommer notre argent. Car, le chiffre a fait trembloter les imperceptibles en nombre indéterminé, et vibrer nos économistes.

Notre pays en vérité n’a pas nécessairement un besoin pressant et de nouveaux moyens pour développer et accroître. Avec ce que nous avons déjà d’existant et de disponible, sans toucher aux réserves, en tout cas pour le moment, nous pouvons nous en sortir. Sûrement pas aisément, mais fondé sur la raison, on peut s’en tirer.

Comprenez-moi bien, je ne veux pas dire que l’argent n’est pas nécessaire, ou que notre pays, n’est pas dans le besoin d’en posséder. Au contraire, Il faut en avoir, et même beaucoup, car la nécessité est flagrante et je le confirme plus bas. Mais le plus difficile, c’est d’avoir en conscience, qu’il faut mettre une science pour bien l’exploiter et comment le consommer. Tout le jeu de l’esprit est là.

Les réponses massives des lecteurs avisés, suite à la résonance de mettre autant de moyens, invitent à agir avec tact dans la conduite de la gestion de cet argent. Pour certains, c’est rendre plein, un filet sans fond et pour d’autres, nous allons  disperser, quelque chose que nous n’avons pas. Asseoir une économie sans tenir compte de la crise mondiale, nous acheminera directement au dommage, à un préjudice fâcheux et nuisant.

Excusez-moi, si je me trompe dans mon analyse. Avec le temps, je constate que ce qui est à l’origine du désastre de notre pays, ce n’est pas le papier-monnaie, mais c’est son adoration. L’argent est un bienfaiteur valet, mais il n’a pas la qualité d’un souverain réfléchi et équilibré. C’est pour cela, que je dis que son tête-à-tête, ne peut garantir le fonctionnement d’un système logique, ni permettre une durabilité de la stabilité.

Nous devons, et nous avons l’obligation de mettre en place une politique saine, rationnelle et novatrice et aligner en face des hommes vertueux pour bien gérer les affaires publiques et faire progresser le pays. Il faut le faire aujourd’hui et non pas demain. Car, demain c’est déjà peut être trop tard. Nous devons être prévoyant et agir avec intelligence. Nous ne devons pas nous imposer à nous même, l’obligation de mettre en application un budget aussi impressionnant, dans une circonstance d’incertitude économique, violente et pointue, qui à ébranler brutalement le monde entier.

Notre terre natale est un patrimoine qui appartient à toute la nation. Son bénéfice revient à l’ensemble, sans distinction, ni d’exception. L’Etat a la responsabilité morale devant Dieu et les hommes, de répartir les revenus d’une manière appropriée et équitable de ses ressources entre sa population et ses espaces.

Il est injuste, qu’une partie de la population qui était considérée comme classe moyenne, frôle aujourd’hui la misère, et que l’autre, la plus vulnérable, se retrouve carrément, au seuil de l’intolérable, une situation insoutenable. Pendant que le reste  s’accorde le privilège du luxe et  s’accommode dans le bien être.

La concertation est une action efficiente pour bien dépenser.

N’est-il pas possible d’agir autrement ? Est-il aussi urgent de mettre tant d’argent sur la table ? Un face-à-face conforme à la réalité, par un dialogue qui découlera d’un bon jugement, relatif aux dénouements des problèmes, est-il envisageable ? Oui ! La concertation organisée et devancer, est une action efficace !

Des consultations entre l’État et la société civile, sont nécessaires afin d’élaborer des positions concertées et de mettre en œuvre, en commun, une politique basée sur une contribution qui donnera l’avantage d’atteindre l’objectif commun. Ce pacte, de conjoncture limitée dans le temps, pourrait préserver et même garantir la stabilité et conduire le développement économique du pays.

Cela nécessite juste un espace libre où, l’air sain peu se mouvoir sans brume, pour mieux se renouveler, et les femmes et les hommes deviendront des géants de la pensée, valide pour l’activité organisée, et utile pour l’expansion.

Comme je l’ai déjà dit dans mon écrit du 21 mai 2010, la consultation et la participation dans les projets de l’Etat par les Partis, ne peut être que complémentaire et leurs applications alors, sera presque sans commentaires. L’Etat dispose aussi du Conseil National Economique et Social avec la capacité de préparer une expertise efficiente, qui communiquera ses résultats de son analyse en toute objectivité.

Ce brusque trouble financier mondial, nous interpelle, et nous impose de bien comprendre, ce que vouloir dire gaspiller et d’avoir le sens de bien dépenser. C’est le moment opportun pour l’Etat de se manifester, en mettant en place des dispositifs appropriés, pour faire associer nos éminents économistes et les pros de la finance dans le cadre d’une assistance solidaire. Une Algérie qui montre de l’attention, est une société prévenante, pour tâcher de trouver vite une solution cohérente. Une idée par la réflexion est une charge étendue, et extrêmement positive pour les temps à venir.

Une telle initiative, ne constitue aucunement un abaissement ou un affaiblissement du devoir et de l’obligation de l’Etat. Comme on dit, deux avis valent mieux qu’un. Avant de prendre une décision ou d’agir dans des conjonctures aussi compliquées, il est sage de demander conseil à ses partenaires et ou à défaut, aux spécialistes. Au contraire, cela ne fera que renforcer les liens d’entente et de conciliation, qui est un signe de complicité accommodante.

Le trop d’argent, et son usage, dans des actions improductives ou qui s’accommode au prestige, risque de compromettre l’avenir du pays. Nous devons faire nos comptes dans le calme et sans précipitation et bien analyser avec justesse, pour une répartition en fonction du caractère de ce qui exige d’être réglé sans délai, ensuite nous passerons à la priorité, c’est-à-dire, les projets qui doivent passer par ordre, en fonction de l’utilité et de la contrainte.

En un mot, sur le plan des dépenses, il est impératif d’évoluer dans la modération et avoir à l’esprit que la crise qui a secoué les Etats Unis et l’Europe, n’est pas loin de nos portes.

D’autant plus qu’il s’agit de puissance, qui progressent ensemble, attachées les unes aux autres pour le même but avec une stratégie commune pour lutter contre la crise. Solidaires, elles osent s’attaquer même aux droits sociaux des travailleurs de leurs pays respectifs, passage obligé, afin de stopper le mal et simultanément, elles pensent activement aux perspectives futures par l’action et l’innovation, pour se maintenir et perdurer le plus longtemps possible dans le futur et dans les conditions les plus favorables.

Alors, imaginons, si cette crise traverse nos murs et  s’implante chez nous. Elle fait des dégâts considérables chez nos voisins européens. Croyez-moi, que les Gouvernements exercent avec une grande concentration et sans relâche, avec acharnement et sans faiblir y compris les week-ends avec une très grande énergie. La contribution avec passion de toutes les capacités du savoir, la volonté manifeste des acteurs sociaux et les secousses hautement musclées de l’opposition et le retour à la normale est incertain, en tout cas à cours terme. Je n’ai rien à apprendre à personne, vous êtes tous bien informé, autant que moi, si ce n’est plus.

La véritable richesse de notre pays  n’est ni dans le pétrole, ni dans le gaz, elle est dans la sagesse, la qualité et la force de la diversité qui la constitue.

La quiétude se trouve dans notre partie la plus basse et la plus profonde de nous même. L’argent n’est pas notre état heureux, seulement, il participe à nous aider à réaliser un bien-être basé sur le plaisir et le bien matériel, et par-dessus tout, il nous aiguillonne vers la montée de l’individualisme et le triomphe de la vanité.

Nous devons ouvrir nos yeux et être à l’écoute de ce qui se passe dans le monde. Nous avons tout intérêt à nous adapter aux circonstances les plus contraignantes et les plus désavantageuses. Nous devons prendre avec croyance, notre destinée en main en nous serrant les coudes très fortement et nous mobiliser de nouveau dans le bon sens, solidaires et passionnés, nous nous en sortirons. Notre chance c’est notre gaieté qui s’éclate vers le bien, et notre hasard favorable, c’est notre émotion profonde liée à la satisfaction de notre joie d’entrevoir ensemble un futur meilleur.

Dans notre pays, il doit y avoir d’énormes gaspillages. Je pense qu’il faut songer par nécessité absolue, à mettre en place un projet de plan d’austérité pour une période minimum de deux ans. D’abord, pour réduire certaines dépenses de l’Etat qui peuvent être considérées non nécessaire, ensuite songer à retarder les projets grandioses, surtout ceux jugés à caractère normal, qui rentre dans le cadre de l’architecture de l’environnement et tout ce qui n’est pas essentiel. Je n’en doute pas, que tout projet à caractère d’embellissement et d’idéalisation pour le pays est précieux, mais le changement en mieux, n’est pas aussi important, ni pressant pour le moment.
Il y a d’autres impératifs qui exigent la nécessité d’agir vite. Telle que l’éducation, la santé, la recherche et l’innovation, l’aide aux abandonnés et les plus  exaspérés, disposition pour les calamités naturelles, la relance des entreprises et notamment le privé, pour la croissance et la diminution du chômage.

L’accès à l’instruction est un acte idéal et indiscutable. Ces filles défavorisées, ces garçons infortunés de ces milieux qui inspirent de la pitié. Les miséreux et les affaiblis, les exclus qui sont devenus, hélas, grâce à l’abandon, de jeunes délinquants. Ceux qui à l’âge de 8 – 10 ans activent sur les trottoirs et dans les marchés… Pour eux, Il faut mettre en place une action immédiate en leur faveur, là où ils se trouvent, et qu’importe le milieu dans lequel ils évoluent. Il faut les prendre en charge sans faire de choix ni d’exclusion pour leur enseigner les savoirs fondamentaux.

Il faut aller vers une stratégie nouvelle, un régime spécial, une ligne exceptionnelle, ne pas hésiter à faire le montage d’un site de rattrapage, d’insertion, de réinsertion. La moralité nous impose de soustraire ces innocents de l’entourage dans lequel ils se trouvent et les regrouper dans un environnement  éducatif et décent, qui donnera un sens à leurs vies. Pas seulement à Alger ou dans quelques villes, il faut créer cet espace dans toutes les agglomérations du pays. C’est le plus beau geste qu’un Gouvernement peut faire.

L’enseignement est le premier poste à favoriser, car il est le fondement inhérent de la croissance de notre nation. Il a une conséquence spontanée et influe favorablement sur l’équilibre de la population. Il est aussi la source du changement en mieux, c’est le complice de la liberté et de la compréhension.

Plus loin que ces résultats et ces éclats, l’éducation est un bien-fondé, il est   essentiel pour la personne humaine, qu’il faut protéger et préserver au même titre que n’importe quel droit humain. Il apporte à chaque personne la capacité  de choisir sa voie et d’accomplir sa détermination. L’éducation est un instrument tout-puissant qui a beaucoup d’influence et peut fournir d’énorme énergie en direction de la maturité et de la liberté.

Pour la santé, le Gouvernement à la charge de rendre disponible à l’ensemble des habitants de notre pays, des infrastructures satisfaisantes et convenables, avec des équipements modernes ainsi que les moyens humains en quantité assez suffisantes, bien formé, accompagné d’une rémunération conforme, pour  la protection dans de bonnes conditions, des besoins en santé et en hygiène de la population.

L’Etat doit s’investir de nouveau dans cet ensemble de questions d’approches aux soins, pour mettre la santé au centre de sa préoccupation. La possibilité d’accès à une prise en charge qualitative est une nécessité absolue pour la prospérité et le développement  du pays. Une population infirme et fatiguée, ne peut produire l’effet attendu intellectuellement, et ne peut aboutir à des résultats performants vers les impératifs de production et productivité.

La recherche et l’innovation concourt à la production du travail et à son usage, au progrès et à la supériorité, à l’aptitude particulière et à la condition sociale de l’existence. L’Etat doit investir dans ce domaine pour le développement de son industrie pour atteindre sa plus forte intensité en technologie, qui sera une des solutions aux situations complexes que vie notre société. La recherche et l’innovation augmentera aussi le mouvement des personnes et la multiplicité de conception et d’inspiration. 
Sans délai, décider également d’un plan national planifié et coordonné pour une prise en charge des plus vulnérables, tels que les sans-logis, ceux qu’on appelle avec un air de dédain des clochards qui passent la nuit dehors, les mal nourris, les pouilleux, les gueux, les femmes et les enfants mineurs abandonnés, les désespérés, les maltraités, celles qui sont contraintes à des besognes peu honorables, devenues femmes de mauvaises mœurs…

Rendre les moyens disponibles et immédiats dans l’ensemble du territoire national et non pas seulement dans les grandes villes dans les cas de catastrophe naturelle. Une mise en place d’une politique continue pour la prise en charge du collectif frappé par les différentes calamités.

Acquérir des systèmes nouveaux et performants pour les sapeurs-pompiers. Que les plus doués pour ce métier soient reconvertis en formateurs et partent à l’étranger pour se perfectionner et apprendre plus, pour communiquer à travers des stages à leurs collègues leurs connaissances et leurs savoirs pour servir mieux, efficacement et très rapidement, car en effet, il s’agit de vie humaine et qu’il faut, dans bien des cas, faire des efforts presque surhumain, pour sauver ces êtres de la mort.

Aussi, c’est l’un des plus important et prioritaire en matière de financement que l’Etat doit consacrer, bien avant d’autres investissements. Constituer une aire de préparation pour le volontaire-solidaire, qui s’estime uni par le lien de la patrie et passionné à aider ses semblables en danger.

Simultanément, pour relancer l’économie et réduire le chômage, nous devons nous consacrer à mettre en place une politique agressive de croissance. Instituer le mérite sur le long terme avec une stratégie de développement en faveur  de nos Entreprises privées. Si les sociétés nationales sont fournies en capacité managériale, ce n’est pas le cas dans une grande partie de nos sociétés privées.

Travailler en premier lieu sur l’organisation et la maîtrise pour leur stabilité, après sur le développement progressif. Nous devons les encadrer, les entourer pour les mettre en valeur dans le but de se parfaire pour se qualifier à l’export avec le maximum de produits possibles et  par la même, résister à l’invasion des produits à faible coût avec une qualité moindre. Nous devons nous imposer cette dynamique économique qui augmentera graduellement.

Tous, comme nous sommes, nous agitons l’étendard très haut pour affirmer que notre pays est riche. C’est vrai que le sol algérien dispose d’une importante et abondante matière première, mais faut-il que ce substantiel soit façonné chez nous pour créer de l’emploi. Une productivité brute n’a de capital qu’au moment ou elle est exploitée et en même temps transformée. Faute de quoi, cette réserve coulante et tous les trésors du sol et sous-sol ne favorisent pas, hélas le peuplement.

Pour que ces matières premières servent à un développement économique et à diminuer l’indigence, il faut que l’exploitation et la transformation par les multinationales soient accomplies dans toute la clarté et la netteté, puisque nous avons cette nécessité par obligation de faire appel aux importantes entreprises  étrangères pour des exploitations complexes. Ceci d’une part.

D’autre part, il est indéniable d’impliquer à pas forcé nos entreprises dans cet espace, les soutenir financièrement, les encourager à faire toujours mieux, et aller de l’avant. Les formations à l’étranger sont indispensables et devraient être imposées pour les cadres des entreprises privés, car les étatiques bénéficies de cet avantage. Nous devons leur ouvrir les portes pour produire un choc de pointe, pour une action de forte intensité.

Notre Gouvernement doit mettre en place une stratégie pour protéger les entreprises privés au même titre que les sociétés nationales. Il est inconcevable qu’un pays comme le notre, continue à importer des produits et des articles sans valeur, au détriment d’une assistance à la toute petite industrie de faible dimension. Ces entrepreneurs volontaires et ambitieux, audacieux et téméraires ont la fougue de réussir à produire national. Ce sont des femmes et des hommes qui font tout pour ne pas faire gonfler les chiffres du chômage et favorise le recrutement, ils emploient entre deux, jusqu’à 10 salariés et plus.

S’il y a de l’argent, il faut faire fleurir dans la transparence nos petites sociétés qui sont démunies, et qui ne sont pas adhérentes dans les Fédérations du patronat privé pour différentes raisons. Celles qui n’ont pas de relations ni dans les Ministères, ni dans les Wilayates, ni dans les banques pour obtenir peut être un avantage qu’il leur permettra d’avancer. L’Algérie doit changer de comportement et se retourner vers ceux qui ont réellement le besoin d’une aide  que ce soit à titre individuel, collectif ou à caractère professionnel.

Traiter avec faveur la stratégie d’un montage de CERCLES pour toutes ces  petites sociétés qui manquent d’expériences sur le plan de la gestion. Cette espace  leur  sera d’une grande utilité, c’est un lieu favori aux réunions et à la communication inter-entreprises. Le but est d’aider les managers de tout genre de profession et de spécialité, de se rassembler dans un milieu cordial et sympathique, en vue de discuter sur les matières et les thèmes qui les intéressent le plus, telles que leurs connaissances acquises par la pratique, l’action de développer et de se déployer, la continuité et la stabilité de leurs entreprises.

Les Ministères concernés, doivent devancer cette initiative sans délai, et la conduire, même la provoquer, la faire naître. Une démarche qu’il faut produire en même temps et au même moment dans chaque ville. Annoncer la nouvelle à travers la télévision et la presse, la faire connaître en développant dans le détail l’intérêt de son impact, faire comprendre avec plein d’animation, de vie et d’entrain. Il faut mettre les moyens financiers et en même temps éveiller, susciter l’engouement et l’enthousiasme chez nos gestionnaires qui nécessitent une véritable stimulation de la part de nos Gouvernants. Avec une accroche saine et dynamique, cela peut produire beaucoup d’effet, c’est ce qu’on appelle l’entraînement du guerrier.

L’Etat reste le déclencheur et suivra de loin l’évolution. Il n’intervient pas dans l’activité interne du cercle, ni dans sa gestion. Cela relève exclusivement de l’autorité du groupe des associés. L’Administration publique incitera pour faire avancer et créer le dynamisme, pour plus de vigueur, de force dans l’action et de détermination, par son soutien sans faille.

Ne pas faire de distinction entre le secteur privé et public, il faut animer sans interruption avec foi et passion. Dans ce cas, ne pas faire attention aux comportements, l’important c’est d’avancer, bousculer intelligemment et sagement.

Il faut tenir bon, ne pas abandonner. Il n’y a pas lieu de se condamner d’avance, affronter une situation difficile, c’est posséder les qualités pour passer à autre chose. Et nous, nous avons ces compétences avec une volonté de fer. Il manque juste un déclic. Mais pour que ce déclencheur puisse provoquer la réaction du mouvement avec succès, il faut qu’il soit réellement pensé et ressenti par les initiateurs.

Et pour conclure, je prie nos Dirigeants à tous les niveaux, ceux qui sont autorisés à consommer l’argent qui leur ait affecté, qu’ils fassent preuve d’un peu de retenue en matière de dépenses. Avec plus de sensibilité et de disposition à servir autrui, je suis convaincu qu’on fera des économies de quoi prendre en charge beaucoup de postes qui sont d’intérêt humain et qui réclament une urgence, sans délai.

Je reste dans l’attente, confiant, en la réalisation d’une situation parfaite pour notre peuple avec le plus grand désir d’apercevoir la capacité d’une expression d’adresse, qui prendra les événements du bon côté, en se désintéressant de  leurs apparences opposées et stériles. La béatitude, c’est ce qui nous éclaire naturellement et donne la latitude à nos comportements.

J’encouragerai sans répit la bienveillance humaine pour le respect d’autrui. L’art de diriger et de coordonner, c’est aussi s’inspirer de ces actions dans un intérêt social, pour atteindre nos objectifs avec croyance en ayant la foi en notre Créateur et Seigneur.

Que les vibrements de mon cœur pour mon pays, deviennent réalités.

Respectueusement,

Mohamed Hamida
25 juin 2010

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