Nous voyons clairement dans les propos rapportés (dans la dépêche jointe ci-dessous) qui est le pousse-au-crime dans le région, dont l’existence est responsable de centaines de milliers de victimes C’est le même  qui se cache derrière les Français (hollando-sakoziens) très verbalement belliqueux (mais totalement inoffensifs) qui ont abdiqué leur souveraineté et qui ne disposent plus d’aucune doctrine en matière de politique étrangère. Les Français ont confié leurs armées aux Etats-Unis et leur cervelle aux sionistes.

Qui ne comprendrait leur aigreur : l’Occident accumule les déculottées en Afghanistan, en Irak, en Iran, en Syrie, au Venezuela, au Salvador, au Nicaragua… et aujourd’hui en Ukraine.

Nous voyons aussi combien les monarchies du Golfe à l’Atlantique et ses princes et rois décervellés sont sous contrôle sioniste et oeuvrent contre les intérêts de leurs voisins, contre une paix salutaire globale et même contre leurs propres intérêts.

Il faut cependant bien garder à l’esprit que l’Amérique d’Obama n’est pas devenue subitement l’amie des Arabes. Le discours du Caire, comme naguère la balade des imbéciles à Annapolis, n’a été qu’une mise en scène pour berner les peuples à travers les ectoplasmes qui leur servent de dirigeants.

De plus en plus d’Américains toutefois prennent conscience que leurs intérêts et ceux d’Israël ne concordent pas toujours et ils commencent à en avoir marre des pressions exercées sur leur exécutif par un lobby sioniste très puissant piloté à distance par une mafia transnationale dont Israël n’est que la partie émergée.

Et dire que beaucoup de nos « élites » ne songent à rien d’autres qu’à jouer aux harkis dans un monde où nous avons depuis longtemps renoncé à apporter notre pierre à l’édifice de la paix dans le monde. Nos carpettes à nous se couchent avec panache.

Nos richesses fuient de tous côtés, nos capitaux sont utilisé par d’autres, parfois contre nous, et nos dirigeants « expérimentés » ont oublié que le FMI – avec leur collaboration servile – a détruit notre économie, notre industrie et a failli détruire la nation algérienne. Alors, qu’à nos frontières des hordes barbadoïdes attendent la bonne occasion pour à nouveau nous plonger dans de nouveaux malheurs.

Pour cela il faudrait nous passer sur le corps : notre peuple dispose d’une culture de résistance qui transcende les siècles parce qu’il a payé chèrement pour voir. Une intelligence collective fruit d’une expérience historique que les hommes n’ont pas acquise dans des Grandes Ecoles de Sciences Po. On ne nous manipulera pas si facilement. Ni les « démocrates » à manque qui veulent nous vendre à leurs saigneurs en mettant le feu au pays, ni les vermines incultes qui détournent les biens de la nation et qui aliènent le futur de notre jeunesse.

C’est vrai que ces parasites ont infiltrés tous les rouages de l’administration, des entreprises (publiques et privées) et de l’économie. De nouvelles sales habitudes ont été prises : la culture de l’impunité et de l’argent facile.

Nous avons affaire à forte partie. Les vautours travaillent à l’échelle de la planète avec des instruments qui défient l’imagination.

Mais tout n’est pas perdu. Il y a des réflexes que nous n’avons pas perdus, des valeurs qui sont partagées par la plupart des membres de notre société. Ces réflexes reviennent lorsque l’essentiel est en jeu.

Et quoi qu’il en soit personne ne nous fera taire et personne ne nous soumettra.

Djeha tient à y croire.
Ceci est ma foi, ceci est ma loi.
Et je sais que je ne suis pas seul.

Djeha
18 mars 2014

Le ministre israélien de la Défense accuse les USA de « faiblesse »
Reuters le 18/03/2014 à 14:25

JERUSALEM, 18 mars (Reuters) – Les Etats-Unis se montrent faibles sur la scène internationale et Israël ne doit pas compter sur eux pour qu’ils prennent la tête de la confrontation avec l’Iran au sujet du programme nucléaire de Téhéran, a déclaré le ministre israélien de la Défense.

Moshe Yaalon a déjà été à l’origine de tensions en janvier entre Israël et les Etats-Unis pour avoir qualifié de « messianiques » et « obsessionnels » les efforts du secrétaire d’Etat américain, John Kerry, en vue de parvenir à un accord de paix israélo-palestinien.

Cité mardi par le quotidien Haaretz, il a exprimé cette fois une profonde déception à l’égard de la gestion des dossiers brûlants de l’actualité internationale par le président Barack Obama.

Un responsable israélien présent à cette conférence a confirmé l’exactitude des propos tenus lundi par Moshe Yaalon à l’université de Tel Aviv.

« Nous avions pensé que ce seraient les Etats-Unis qui prendraient la tête de la campagne contre l’Iran », a dit Moshe Yaalon, citant la crise en Ukraine comme un exemple de l’attitude de Washington consistant à « manifester de la faiblesse ».

Les Etats-Unis ont imposé lundi des sanctions à deux collaborateurs de Vladimir Poutine et à neuf autres personnalités jugées responsables de l’intervention russe en Crimée. (Voir ID : nL6N0ME39B)

« NÉGOCIER DANS UN BAZAR PERSAN »

Les discussions en vue de parvenir à un accord définitif sur le nucléaire iranien ont repris mardi à Vienne, après l’accord provisoire conclu en novembre entre la République islamique et six grandes puissances, dont les Etats-Unis. (Voir ID : nL6N0MF2MU)

Moshe Yaalon a regretté ces négociations alors que « les gens savent que l’Iran triche ».

« C’est pourquoi, sur cette question, nous devons faire comme si nous n’avions personne pour veiller sur nous si ce n’est nous-mêmes », a dit le ministre israélien de la Défense, ancien chef de l’armée et rangé parmi les « faucons » du Likoud.

Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, laisse planer la menace d’une intervention militaire unilatérale en Iran pour neutraliser le programme nucléaire iranien, perçu comme une menace existentielle par l’Etat hébreu.

« Malheureusement, quand il s’agit de négocier dans un bazar persan, les Iraniens sont meilleurs », a déclaré Moshe Yaalon.

« Bien à l’aise chez eux, les Occidentaux préfèrent repousser la confrontation, si possible à l’année prochaine ou aux prochains dirigeants. Mais au bout du compte, elle explosera. »

Il a dit avoir entendu au Proche-Orient des « paroles de déception » à l’égard du soutien modéré apporté par les Etats-Unis aux rebelles sunnites cherchant à renverser Bachar al Assad en Syrie.

De même, lors d’une récente visite en Asie, il dit avoir perçu une forme de « désillusion face à une Chine qui devient plus forte et des Etats-Unis qui deviennent plus faibles ».

(Jeffrey Heller; Bertrand Boucey pour le service français)

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