Les années passent, les pratiques d’une certaine presse, en Algérie, demeurent inchangées. En effet, le 25 novembre dernier, le journal « le jeune indépendant », accuse le FFS –sans apporter la moindre preuve –de tricherie. À quelle fin ? Probablement, pour plaire à une fausse opposition qui s’oppose au FFS. Ainsi, en ne se contentant pas de discréditer l’initiative du FFS, ce journal est apparemment prêt à aller jusqu’au bout en vue de la saborder. Pour cela, il utilise tous les moyens pour faire passer « Libre Algérie », le journal en ligne du FFS, comme étant un journal dépourvu de toute éthique. « Pour ce faire, il [le FFS] a engagé des collaborateurs soft parmi la presse nationale. L’un des collaborateurs du journal en ligne Ait Benali Boubekeur, alias K. Selim, alias Said Djaffer, chroniqueur au Quotidien d’Oran reprend même des extraits de son article publié par le journal pour alimenter sa chronique et celle de son ami N. Khellassi », peut-on lire à la page 5 de ce quotidien.

De toute évidence, en extrapolant son cas avéré de malhonnêteté, l’auteur de ce texte croit, à tort évidemment, que tous les Algériens sont pareils. En plus, bien qu’une simple recherche sur internet puisse l’éclairer sur le fait que les trois personnes sont différentes, son acharnement contre le FFS –et c’est le moins que l’on puisse dire –le rend aveugle. En tout cas, après l’invention de l’opposition à l’opposition [le projet de la CNTLD se résume à la mise en échec de l’initiative du FFS], voilà qu’on assiste au même phénomène dans la presse. Du coup, bien que le Quotidien d’Oran ne fasse pas sienne la démarche du FFS –ce qui est normal dans la mesure où le journal a pour vocation d’informer les lecteurs –, le « jeune indépendant » s’en prend à l’un de ses chroniqueurs, K. Selim. En procédant de la sorte, ce journal cherche à plaire. C’est son choix, mais ce qu’il a écrit sur le FFS est un pur mensonge. Et cela se vérifie facilement.

En somme, il va de soi que si la presse écrite perd de jour en jour de sa crédibilité, c’est parce qu’il existe des titres qui font du mensonge et de la manipulation leur fonds de commerce. Quant à la démarche du FFS, il appartient, en premier lieu, au peuple algérien de la juger. Et encore ! Bien qu’on puisse ne pas y adhérer, la presse n’a pas le droit de l’attaquer en inventant des scénarios rocambolesques. D’ailleurs, quand ce journal affirme que « le FFS nous a habitué (s), pourtant, dans un passé récent, à plus de transparence et de … courage », on peut lui répondre ceci : le FFS n’a jamais abandonné ses principes. En revanche, c’est votre aveuglement qui fausse votre jugement.

Boubekeur Ait Benali
4 décembre 2014

Comments are closed.

Exit mobile version