Malgré la toute-petite teinte de latitude d’une légère apparence, l’amour pour sa patrie arrive quand même à animer sa grande obligation de conscience avec beaucoup de détermination

Savez-vous que la majorité des femmes accèdent par passion dans les Institutions Militaires ? C’est vrai ¡ Ce n’est ni une perception fausse, ni une apparence trompeuse qui soit en dehors de la réalité. Elles ont un très fort penchant pour ces métiers pour le plus grand nombre d’elles. Ces essentielles et considérantes Unités d’action des Corps de Gendarmerie, de Police et Militaire et même de la Protection Civile, sont d’une intensité et d’une énergie sans égal, avec la mission de protéger les personnes et la responsabilité de la préservation des biens. C’est à l’intérieur de cette expression compréhensible, impressionnante et accessible que la femme algérienne a choisi de placer son ambition et sa fougue au service des citoyens de son pays.

Elle est consultée et se prononce dans l’exercice de sa capacité d’agir. Tellement qu’elle porte dans son cœur l’amour de son pays, elle se prive volontairement de sommeil pour la sauvegarde de la patrie. Elle prête main forte par son appui et elle est disponible au renfort, veille à la tranquillité à l’intérieur et à l’extérieur de la Cité, se consacre continuellement à la sécurité routière. D’une attitude bienveillante teintée d’un sentiment de supériorité, elle active sans cesse pour l’ordre public. Mais, voilà ¡ Pour y arriver à un tel résultat dans un de ces Corps d’autorité et de discipline, la femme doit consentir volontairement à recevoir une quantité de dispositions et de conditions au même titre que le masculin. Et cela ne l’affole pas. La preuve, elle est déjà au cœur de l’histoire.

Elles marchent, elles accélèrent, elles arrivent, elles sont déjà sur nos pas. Elles émettent de la lumière, elles éclairent nos sentiments. Ecoutez-les ! Et juste après, je vous dirai des choses du côté d’elles

Elle est gendarme et elle dit que le féminin, agréable à voir et à entendre, n’est pas constamment celui qui respire le bonheur et, que le masculin brillant doté d’un esprit pénétrant, n’est pas toujours celui qui attire fortement. Elle pense aussi que la familiarité, l’amitié solidaire ainsi que l’espérance ferme apparaîtrons par nature, sans intervention humaine et de manière innée, au moment où prédominera l’ensemble des lignes de conduite des références morales et sociales qui régissent notre société.

Elle est policière et elle dit que la générosité du physique, dépouiller des qualités morales, de la conscience et de l’humanité, n’est qu’un agrément propre aux instinctifs. Elle pense aussi que celui qui est en transgression consciente des lois de Dieu à l’intérieur du siège de son émotion et qui attire par sa faculté de proférer des paroles inintelligibles, obscurs et pernicieux, est un individu qui a des caractéristiques communes à un pichet badigeonné de breuvage, bourré de substance affectant les fonctions vitales, pouvant provoquer le sommeil éternel de son semblable.

Elle est militaire et elle dit que le joli en absence de charme fait venir. En revanche, il n’est pas en mesure de conserver, ni de garder, il séduit sans se faire prendre. Elle pense aussi que nul Organe ou Pouvoir aussi démocrate qu’il soit, n’est capable de remplir sa fonction convenablement et décemment, s’il exclut la valeur vérité et le devoir de moral du consensus. Pour avancer avec régularité et gagner du terrain, elle considère qu’il est important de faire une halte et ranimer notre conscience estimable pour récupérer de nouveau, les éléments essentiels des règles sociales et les mœurs établies dans notre communauté.

Elle est pompier et elle dit que le trio des entités abstraites qui sont fugaces dans notre monde, c’est la résonance, l’écharpe d’Iris et la lueur vive de la moitié de l’homme et que nulle fraîcheur visible de cette dernière, n’a une existence parfaite, si la générosité de son cœur, ne la rend tonique. Elle pense aussi que la grandeur spirituelle, émet autant qu’un éclat énigmatique, au-dessus de la splendeur, de la plus importante partie de l’être humain. Elle crie haut et fort qu’elle ne s’efforce pas de tenter d’être une femme de gloire, au contraire, elle s’impose à elle-même, un axe de conformité à la raison, au droit et à la justice.

En fin de compte, ensemble, elles ont dit que le changement par bouleversement, ne se produit chez l’homme, que lorsque sa perception, porte une appréciation de valeur sur ses propres actes. Car avec un comportement qui se caractérise par l’absence d’éléments constructifs, il est très difficile de réaliser jusqu’à son terme une grandeur dans la brillance. C’est pour cela, que la compréhension réclame impérativement la qualité de savoir attendre calmement avec sang-froid. Pour elles, la vaillance a de l’importance, seulement là, où il existe la faculté de bien juger. Cela suppose un travail en profondeur pour évacuer l’accès de la colère instinctive, qui risque de surgir spontanément dans ce bref intervalle de temps.

Elles considèrent que l’agréable et l’adéquat ont été de tout temps un résultat d’adresse et de manière et qu’il est essentiel d’introduire la volonté de probité à un rang supérieur, beaucoup plus que la force corporel à l’intérieur de notre spatio-temporel. Pour elles, les règles de courtoisie et le comportement respectueux, sont des qualités de pensées et d’action qui suscitent l’admiration morale et qui communiquent un grand rayonnement et un excellant stimulant au rang social. Consentir volontairement à admettre les préjudices potentiels qui sont incontournables dans notre vie, c’est de produire l’effet de la grande valeur vertueuse dans la bonté et la dignité, authentique disposition de la personne humaine.

Elles sont persuadées que la hiérarchie de l’homme chevronné, qualifié de raisonnable, détenteur de la marque de vérité incontesté dans l’organisation sociale, est considéré préférable et convenable que l’acquiescement commun de personnes qui n’appréhendent pas les connaissances pour donner un sens à la chose. Elles sont convaincues qu’aucun événement ne peut résister à la personne qui se tient assidûment à l’intérieur de l’endroit où il doit être. S’il est concentré et constant dans son travail, alors, son incommensurable production se produit par son acharnement et sa ténacité avec une émotion très forte qui va quelquefois jusqu’à l’encontre de la raison. Elles certifient que ce penchant naturel et exclusif, passe d’un état à un autre, quand il découvre un passage qui le conduit vers une activité qui se réalise par la force des bras, qui passe par l’habilité des mouvements de la griffe, avec la plus grande aisance, dans une dynamique innovante, finesse de l’esprit.

Elles tiennent pour vrai qu’une nation qui aspire à un développement par évolution de son régime politique dans lequel son peuple exerce la souveraineté, doit posséder des caractéristiques les plus appropriées qui ne font pas descendre à un niveau plus bas les groupes de personnes de la société les plus distingués par leurs qualités à l’échelon de la masse. Au contraire, faire en sorte de rendre à un niveau supérieur moralement et intellectuellement la population aux alentours de l’élite du pays.

Dîtes tous avec moi ! Qu’elles ont une vraie valeur morale et qu’elles sont intellectuellement élevées, les femmes de notre pays.

Elles sont de plus en plus nombreuses, sans cesse et encore plus déterminées, rien ne les arrête de crier en chœur quand la nécessité se fait sentir. Elles sont prudentes, mais pas terrifiées, avisées, mais pas affolées, elles sont vivaces et aussi vigoureuses et elles servent notre pays. Nous avons besoin d’elles, autant que la substance qui nécessite la lumière du jour.

Qu’elle s’appelle Fathia ou Ouardia, Dalila ou Kinza, Zineb ou Chafika, Farida ou Houria, Sonia ou Naïma, Zahia ou Salima, elle est femme adulte, chaste et discrète. Grande ou petite, elle est courageuse et vaillante, cordiale et attirante, affectueuse et attentionnée. Moderne ou classique, elle est adorable et charmante, admirable et gracieuse, séduisante et parfaite.

Qu’elle soit du Centre ou du Sud, de l’Est ou de l’Ouest, elle est brave et patriote, accueillante et aimable, conquérante et souriante, convenable et respectueuse, loyale et morale, entière et sans réserve, audacieuse et sans équivoque, constante et serviable, tenace et réaliste.

Qu’elle soit arabe ou berbère, elle est fière d’être algérienne. Elle est posée et modérée, perspicace et rationnelle, réfléchie et consciente, diligente et minutieuse, attentive et vigilante, judicieuse et disciplinée, pudique et modeste.

Qu’elle ait étudié l’arabe classique ou le français, elle est habile et intelligente, studieuse et appliquée, développée et évoluée, adroite et compétente, géniale et pertinente, civilisée et raffinée, courtoise et distinguée, soignée et perfectionniste.

Enfin, elles conviennent que notre parler populaire est un idiome courant mélangé de français, arabe et berbère qui nous permet de communiquer entre nous. C’est vrai aussi que le parler algérien n’est pas une langue de culture supérieure. C’est pour cela qu’elles insistent, qu’il faut travailler en qualité supérieure pour améliorer l’enseignement de l’arabe et accorder autant d’importance au tamazight, aussi s’accrocher avec vérité et imposé avec autorité les langues et cultures des différentes civilisations pour développer davantage nos connaissances et notre savoir dans le but de s’élever toujours vers le haut dans le bien, au même titre que les autres nations.

Et voilà que je me prononce ! Cette femme, représentante de l’Autorité, avec grâce et aisance, démontre sans cesse qu’elle a une démarche distincte par rapport à l’homme, en s’adressant aux autres. Très souvent, elle évite l’emploi des actions violentes, du fait qu’elle est plus accommodante. Elle a cette faculté de se distinguer par la façon de s’exprimer d’une manière qui est bien différente, par un examen de vue dans le but de parvenir à un accord avec les esprits contradictoires, elle a cette délicatesse de faire en sorte de contourner les complications.

Cette toute-puissante, elle est experte avec un savoir et ouverte à l’information. Elle est humaine, mûre au nombre d’or. Elle est le modèle légal de la grandeur comme référence, apte à rassembler, joindre pour former. Elle n’est pas en manque d’intensité ni réduite dans le mérite. En service elle n’a rien à convoiter ni à briguer au masculin qui exerce la même fonction qu’elle, tout au contraire et loin de là. Elle se bat avec décence, dignité et assurance. Elle est armée d’une grande force morale face aux épreuves, au danger et à la souffrance. Elle travaille sans relâche en faisant preuve d’une grande fermeté et impassibilité face à la douleur et l’adversité.

Ce bout de femme, vertueuse et remarquable que rien n’arrête, fait blêmir plus d’un. Elle a la capacité d’amener à admettre le bien-fondé d’un fait à des hommes de haute stature beaucoup plus supérieur qu’elle, pour la suivre en l’absence de lien de fer. Elle va au-devant d’individu agressif et en grande irritation sans être frappé de peur ni d’angoisse. Elle est aussi foudre de guerre que son collègue masculin. Ses connaissances et son expérience du terrain, la positionne comme possédant les qualités requises pour empêcher le déclenchement de quelque chose de dangereux. Quelquefois, le fait d’être seulement présente, communique la faculté d’abaisser le degré de tension. Elle est debout et disponible pour effectuer plus d’action afin qu’il y ait le minimum de souffre-douleur. Elle est beaucoup plus attachée à l’anticipation par l’information et la mise en garde, privilégiant ainsi la manière préventive.

Cette authentique nature de la région côtière méditerranéenne, conçoit sa façon de mener son existence dans la constance. Elle apprécie son mode de vie avec adulation et porte sa vue calmement sur son avenir. Elle a compris que son billet de voyage vers la perfection et tout d’abord d’être capable d’appréhender les connaissances, pour pouvoir donner un sens aux choses et faits qui existent dans la réalité.

Vous, chers concitoyens ! Qui êtes unis par la filiation, plus la fraternité et d’une façon étroite par le lien de la citoyenneté, je vous prie avec mon cœur de bien vouloir soumettre à une profonde réflexion le produit de ma pensée et l’illusion du bonheur de nos sœurs qui veulent de l’activité humaine organisée et utile, celle qui nous fortifie et qui nous garantirait la liberté. Elles ont envies de ressentir la fatigue, cette sensation physique et morale d’épreuve et de souffrance. Cette dynamique qui succède à la lassitude, qui est un accès le moins contraignant, pour atteindre la légitimité et la solidarité.

Elles ambitionnent à travers cet exercice de devoir et d’épuisement d’atteindre une admiration passionnée, qui provoquera par une vive émotion la satisfaction morale d’avoir servi à quelque chose dans cette vie.

Mes très chers compatriotes, Si cet ensemble d’espérances possèdent les qualités voulues. Si elles sont conforme à la réalité et qui ne relèvent pas de l’imaginaire. Si elles ont les caractéristiques d’une description généreuse qui montrent des sentiments élevés. Si elles ont le sens de l’équité, ce signe distinctif, unique et essentiel d’une société humaine. Si elles sont naturelles, sans défaut moral et sans superflu. Si elles font naître un sentiment de contentement, d’occasion exceptionnelle. Si vous considérez que ce sont des idées communes en vogue et en popularité. Si la capacité de faire du bien est réelle, alors faîtes délibération sur mes propos et apprenez-moi à être ce que je suis et, surtout n’hésitez pas à enlever sur ma ration, sur mon emploi, sur mon indispensable. Je prends ça sur moi, je porterai toujours cela dans mon cœur. Je m’en remets à vous, à la lumière de votre discernement, à votre caractère mesuré et votre comportement modéré, elles comptent sur nous.

Votre fidèle compagnon Mohamed Hamida
Vendredi 29 octobre 2010

Nota bene : excuser pour certaines ponctuations, elles sont espagnoles

2 commentaires

  1. « Femmes de mon pays » avez vous de la religion ?
    Par amour pour leur patrie,par amour charnel,par amour spirituel le vrai, le fort, celui qui est intemporel, éternel,ces femmes de mon pays, ont-elles de la religion,un foyer,un bon mari et de beaux enfants qu’elles élèvent dans le respect des traditions ?

    • C’est une condition : En avoir ou pas ?
      C’est quoi ce débat ? C’est des femmes, c’ est a dire un homme comme un autre ,un être humain en deux mots et sans superlatif avec ses défauts et qualités . Pourquoi cette obligation d’être parfaite appliquée à la femme ? et de plus bonne épouse, une génitrice , dans la foi et le respect des traditions . Pauvre femme qui n ‘est ni belle ,ni mariée ou stérile , état qu’elle ne choisit pas ! Et si les hommes avaient les mêmes exigences envers eux qu’ils en ont envers les femmes en commençant d’abord par les laisser en paix et de leur parler d égal a égal . Elles ne sont pas la pour leur flatter l’ego, juste avoir les même droits et les mêmes devoirs , le reste on s’en arrange.

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